Sabang et Iboih en becak

Aujourd’hui relâche, nous ne plongeons pas. Nous avons loué les services d’un conducteur de becak, un genre de tuk-tuk d’ici, pour visiter Sabang et Iboih, les deux plus gros villages de l’île. Un becak est une moto de moyenne cylindrée (150 cm3) couplée latéralement avec une caisse à savon 4 places. Heureusement nous n’étions que deux car les banquettes sont plutôt étroites. Comme Pulau Weh est assez vallonnée les trajets en becak prennent… un certain temps. Mais en Indonésie, d’après Fitos, il faut être patient.

Nous avons pu constater la profusion d’affiches électorales en prévision des élections législatives nationales prévues en avril. Seize partis sont en lice, chacun présentant un nombre considérable de candidates et de candidats. Mais, toujours d’après Fitos, tout ça c’est bonnet blanc et blanc bonnet : des promesses, toujours des promesses… Ça rappelle la Malaisie.

Le long des routes on voit des clôtures vivantes. Ici, apparemment, il suffit de planter des piquets et d’attendre qu’ils se transforment en arbres pour former une palissade impénétrable. Pratique, il faut juste être patient.

Ce contenu a été publié dans Indonésie, févr. 2019. Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.