Belle plongée sur les Ferranelles, où il y a toujours quelque chose de nouveau à voir, même lorsque la visibilité est réduite. Une très belle méduse, pour commencer, en train de se faire picorer par un petit sar commun.
De jolies ascidies rouges un peu partout sur les rochers.
Des bancs serrés de saupes, bien sûr, en pleine frénésie alimentaire sur un rocher, avant de passer à un autre.
Des nudibranches, aussi, tellement petits qu’il faut l’œil acéré de Jordi, notre guide, pour les repérer.
Et de belles rascasses planquées sous les rochers ou, comme ici, sous les blocs de béton qui servent d’ancrage aux bouées d’amarrage.
Plus les gorgones rouges et les bancs de barracudas. Nous sommes restés plus d’une heure sous l’eau mais ça en valait la peine.
L’après-midi, malgré le temps brumeux, nous partons en balade vers le Cap de la Barra, au nord de l’Estartit. Ça grimpe un peu (85 mètres) mais la vue vaut largement la peine. Le Roca Maura émerge tout juste des nuages mais les Mèdes sont toujours bien visibles. De ce côté on voit même le Sarpatxot (si on sait où regarder).